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Bilan de la phase de poules de l’Euro 2020 – Conseil de classe !

Par Flavien Dublineau25 juin 2021 EURO 2020
EURO
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Au lendemain de la phase de poules de l’Euro 2020, nous connaissons désormais tous les qualifiés et toutes les sélections éliminées. Néanmoins, tous les qualifiés ne l’ont pas nécessairement été avec les honneurs, tandis que certaines sélections éliminées peuvent quitter la fête la tête haute. Devant cette classe de 24 élèves, il est désormais temps de passer aux appréciations et de donner les bons et mauvais points !

Premier de la classe : l’Italie

L’élève italien mérite pleinement son statut de premier de la classe. Trois matchs, trois franches réussites, avec cependant un très léger relâchement lors de son dernier match face à son collègue gallois, mais n’entachant en rien la copie globale. Sept buts marqués sans voir ne serait-ce qu’une fois ses propres filets trembler, un jeu convaincant, une sérénité à toute épreuve, avec qui plus est un turn-over ayant permis à l’ensemble des joueurs de champ ainsi qu’au deuxième gardien Sirigu de disputer au moins quelques minutes… Il n’y a pas grand-chose à redire sur le parcours des Italiens jusqu’à présent. Le tirage au sort aura permis à ces derniers d’être dans une poule très abordable et de jouer tous ses matchs à domicile, ce qui a pu dans un sens faciliter les choses, mais il n’empêche qu’il serait injuste de ne pas tirer son chapeau devant eux. Face à l’Autriche, ils devraient s’en sortir sans trop de problèmes, et viendra alors le premier véritable test lors des quarts de finale pour la Squadra Azzura, à savoir contre la Belgique ou le Portugal : on verra à ce moment-là ce que les finalistes de l’Euro 2012 ont véritablement dans le ventre !

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Les félicitations du jury : la Belgique, les Pays-Bas, la Suède

Sans conteste, la Belgique et les Pays-Bas méritent leurs félicitations. Dans un premier temps, la Belgique, forte d’une très sérieuse entrée en matière avec un 3-0 net et sans bavure face aux Russes, a également su rebondir après une entame de match totalement ratée face aux Danois pour finalement l’emporter, avant d’user sur la longueur des finlandais jouant pourtant leur qualification. Malgré un contenu moins flamboyant que ce à quoi on pouvait légitimement s’attendre, les trois victoires en autant de matchs avec une différence de buts de +6 font qu’il est impossible d’attribuer aux Belges autre chose que les félicitations.

Les Pays-Bas, quant à eux, s’en sortent également avec un parcours sans fausse note : trois victoires, 8 buts marqués, 2 buts encaissés, une sensation de facilité constante (hormis un dernier quart d’heure compliqué face à l’Ukraine), des joueurs en feu (Depay, Wijnaldum et Dumfries pour ne citer qu’eux, ce dernier étant déjà l’une des révélations de l’Euro) et un parcours dans le tableau final plus qu’abordable jusqu’en demi-finale font que les Bataves sont devenus des postulants très sérieux pour une place VIP sur la pelouse de Wembley le 11 juillet prochain.

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Enfin, pour compléter le trio de félicités, la Suède, emmenée par un Emil Forsberg déjà auteur de trois buts, a été retenue après une longue réflexion. Malgré un premier match contre l’Espagne où les Suédois n’ont absolument rien proposé mais durant lequel ils auront réussi à obtenir ce qu’ils étaient venus chercher (à savoir le point du nul), ces derniers se sont imposés contre la Slovaquie, mais surtout contre la Pologne à l’issue d’un match haut en couleur, avec un ultime but de Claesson au bout du temps additionnel après avoir vu les coéquipiers de Lewandowski remonter deux buts. C’est d’ailleurs ce but qui leur permet d’obtenir la première place d’un groupe finalement assez relevé et leur permet de se retrouver dans un tableau final abordable et de, pourquoi pas, voir plus loin qu’un huitième de finale !

Mention bien : la République Tchèque, les Pays de Galles, l’Autriche, le Danemark

Le quatuor République tchèque, Pays de Galles, Autriche et Danemark aura eu le mérite de se qualifier, mais bien que toutes ses sélections se retrouveront en huitièmes de finale, leurs parcours ont été bien différents. La République tchèque, dont l’attaquant vedette Patrik Schick a surement marqué le but de l’euro (ce lob de 45 mètres face à l’Écosse !), n’a pas à rougir de sa troisième place : longtemps deuxième de son groupe, elle ne doit sa troisième place que du fait de la victoire par deux buts d’écart de la Croatie face à l’Écosse. Ayant tenu tête à ces mêmes Croates en poules et ne s’inclinant que d’une courte tête face à l’Angleterre (il est tout de même question des finalistes et demi-finalistes de la dernière Coupe du Monde), elle aura la chance d’être placée dans la partie la moins effrayante du tableau final.

Le Pays de Galles pouvait, au vu de son groupe composé de la Suisse, la Turquie et l’Italie, espérer une qualification, mais une deuxième place du groupe est déjà une réelle performance pour eux. Les Gallois étaient d’ailleurs en mesure de chiper la première place aux Italiens lors de l’ultime rencontre du groupe face à ces derniers, ce qui aurait été loin d’être un mince exploit. Malheureusement pour les coéquipiers de Bale, ils n’ont pas réussi à remporter ce dernier match, mais ils peuvent déjà être fiers de leur parcours et pourquoi pas viser plus loin !

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L’Autriche, quant à elle, s’en sort également bien, avec une seconde place du groupe C, obtenue après notamment deux succès contre la Macédoine du Nord ainsi que contre les Ukrainiens lors de leur dernier match de poule et n’ayant perdu que contre les Pays-Bas. Toutefois, les limites affichées par cette formation ainsi que son manque d’expérience lors des phases à élimination directe risquent fort d’être rédhibitoires face à des Italiens qui arriveront en pleine confiance  lors des huitièmes de finale mais, quoi qu’il en soit, l’Autriche a déjà réussi son Euro.

Enfin, mention particulière pour le Danemark. Dans l’après-midi du 12 juin, le football était devenu très vite secondaire pour l’ensemble des fans, qui plus est des Danois, en raison du malaise d’Eriksen. L’UEFA ayant imposé que la suite du match les opposant alors à la Finlande devait se jouer rapidement, il était fortement compréhensible que les partenaires du joueur de l’Inter Milan n’avaient plus forcément la tête au football. Toutefois, on ne peut être qu’admiratif de la force mentale des joueurs danois et, malgré une seconde défaite contre la Belgique tout en leur ayant causé beaucoup de problèmes, leur très belle victoire lors du dernier match contre la Russie dans une ambiance de folie leur permet d’accéder au tableau final de la compétition avec une belle deuxième place méritée sur l’ensemble des phases de poules.

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Correct, mais peut mieux faire : l’Angleterre, la Croatie, l’Espagne, la France, le Portugal

L’Angleterre, annoncée parmi les favoris de la compétition, a fortement déçu dans le jeu. Les hommes de Southgate n’ont quasiment rien proposé et n’ont marqué que deux buts (par Sterling) sur leurs trois matchs de poule, avec un contenu proche du néant et en ayant joué leurs trois matchs à domicile. Cependant, les Anglais, comme les Italiens, n’ont encaissé aucun but depuis le début de la compétition et ont terminé premiers de leur groupe : il serait donc difficile de leur donner une autre appréciation. Il faudra toutefois en montrer plus contre l’Allemagne pour pouvoir passer les huitièmes de finale !

Dans le même groupe, la Croatie n’a assuré sa qualification qu’à l’issue de son ultime match de poule face à l’Écosse. Décevants dans le jeu lors de ses deux premiers matchs et loin d’être qualifiés au début de la seconde mi-temps de son dernier match, les finalistes de la dernière Coupe du monde ont tout de même réussi à accrocher l’une des deux premières places (en l’espèce, la deuxième) qui leur étaient promises en début de tournoi. Contrat rempli donc ; sans la manière, certes, mais contrat rempli. Merci Modrić !

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L’Espagne, future adversaire des Croates, est également loin d’avoir convaincu : après deux matchs nuls en deux matchs et au vu du contenu proposé, il n’était vraiment pas dit que l’Espagne obtienne une des deux premières places de son groupe. Alors certes, le 5-0 contre la Slovaquie a remis les pendules à l’heure, mais il ne faut pas oublier que l’Espagne a joué tous ses matchs à domicile et que la Slovaquie, menée 2-0 à la mi-temps, s’est totalement écroulée lors de la seconde mi-temps. Le huitième face à la Croatie, très alléchant sur le papier, risque de l’être un peu moins sur le terrain.

La France, avec 5 points et une première place dans le groupe de la mort, composée de la Hongrie, du Portugal, champion d’Europe en titre et de l’Allemagne, championne du monde en 2014 et demi-finaliste de l’Euro 2016, n’a pas à se plaindre de son parcours et de sa première place de poule. Cependant, sans trop être alarmant, on en attendait plus de cette équipe, qui n’a finalement gagné qu’un match sur trois et partagé deux fois les points. L’équipe de France, dont on attendait qu’elle écrase tout sur son passage, a déçu offensivement face à la Hongrie et au Portugal, termine la phase de poules avec un Dembélé forfait et présente de grosses inquiétudes concernant Digne, Hernandez, Thuram et Lemar. Cependant, le tableau est loin d’être tout noir, en atteste la victoire convaincante lors de son premier match contre l’Allemagne et qui aurait pu se finir sur un score beaucoup plus lourd. On en attend plus des Bleus, mais cela serait mentir que de dire que les joueurs de Deschamps ont fait une mauvaise phase de poules !

Enfin, le Portugal, annoncé comme un favori potentiel de l’Euro en compagnie avec la France, l’Italie, l’Angleterre ou encore la Belgique, a rempli sa principale mission, à savoir la qualification. Toutefois, que ce fut compliqué : après une victoire plus que poussive face à la Hongrie dont le 3-0 ne reflétait en rien l’équilibre réel du match, le Portugal a frôlé une grosse humiliation contre l’Allemagne, ne perdant finalement que de deux buts, et a été pendant 13 minutes éliminé du tournoi durant le 3ème match face aux Français. Néanmoins, portés par un grand Ronaldo une nouvelle fois (déjà auteur de cinq buts !), les hommes de Santos ont finalement arraché leur billet pour les huitièmes, mais seront placés dans la partie la plus complexe du tableau final et devront affronter la Belgique, puis l’Italie en cas de qualification, avant de potentiellement retrouver une nouvelle fois la France en demi-finale. Objectif atteint donc, mais les Lusitaniens devront se retrousser les manches s’ils ne veulent pas sortir de la compétition dès le début de la phase à élimination directe.

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Passage de justesse : la Suisse, l’Ukraine, l’Allemagne.

La Suisse, future adversaire des Bleus, n’aura finalement réussi à se qualifier que lors de son dernier match face à une très faible Turquie. N’ayant pas franchement convaincu dans un groupe assez homogène (hormis l’Italie) et ce malgré un Shaqiri encore une fois en grande forme, sa troisième place est finalement assez décevante. En outre, face à une équipe de France qui va vouloir faire le doublé Coupe du monde / Euro, il y a fort a parier que les voisins suisses n’ont plus qu’un match à jouer dans cet Euro. Sortir les Bleus en huitièmes serait cependant un véritable exploit pour les joueurs helvètes, mais ces derniers semblent trop justes et limités pour pouvoir réellement inquiéter les tricolores.

L’Ukraine, quant à elle, avait perdu son premier match face aux Pays-Bas mais aurait pu prétendre à un match nul, avant de l’emporter face à la Macédoine du Nord et de perdre son dernier match face à la l’Autriche, dans un match ou la formation de Shevchenko aura affiché ses limites. Elle ne doit finalement sa qualification qu’à la différence de buts, passant devant la Finlande et terminant 4ème et ultime qualifiée parmi les meilleurs troisièmes. Néanmoins, elle aura la chance de se retrouver dans la partie la plus abordable du tableau final et pourrait faire un coup contre la Suède. Cependant, même si l’Ukraine élimine la Suède (ce qui, au vu des matchs de poules, semble compliqué), elle affrontera le vainqueur du match opposant l’Angleterre et l’Allemagne sur un potentiel quart de finale : difficile de voir l’Ukraine aller plus loin que cela donc, et les joueurs ukrainiens considéreraient surement leur Euro comme réussi s’ils parvenaient déjà à atteindre les quarts de finale.

Enfin, l’Allemagne est LA déception de la phase de poules. Alors oui, la Mannschaft a terminé deuxième du groupe le plus relevé de l’Euro. Oui, l’Allemagne a battu le Portugal 4-2 dans un match qu’elle aurait pu gagner plus largement. Cependant, il ne faut pas oublier que l’équipe de Joachim Löw a joué ses trois matchs à domicile, que l’Allemagne n’a quasiment jamais été en mesure de rivaliser avec la France lors de son premier match et s’en tire d’ailleurs bien avec une défaite 1-0 et en finissant à 11. Surtout, l’Allemagne a frôlé la correctionnelle face à la Hongrie, en étant éliminée durant la grande majorité de cet ultime match et ne devant sa qualification qu’à l’égalisation de Goretzka à la 84ème minute. Il n’est d’ailleurs pas dit que l’Allemagne se serait qualifiée si elle avait joué ses matchs hors de chez elle, qui plus est le match face à la Hongrie, qui n’était pas loin de réaliser une exceptionnelle performance. Toutefois, les Allemands, contrairement à ses adversaires français et portugais, ont de la chance : grâce à cette deuxième place, ils se retrouvent dans une partie de tableau très abordable et sont finalement l’équipe du groupe de la mort qui s’en est le mieux tirée au vu de la suite de la compétition.

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Encouragements : la Hongrie, la Finlande, la Slovaquie

La Hongrie, dans un groupe où la plupart ne les voyaient pas faire autre chose que de s’incliner trois fois par des scores assez lourds, aura finalement fait bien mieux que résister. Elle n’aura en effet été menée que durant 11 minutes dans le groupe de la mort, ce qui est déjà une remarquable performance face à l’hydre franco-germano-portugaise. Subissant finalement un score lourd face au Portugal lors de son premier match, mais n’ayant pas été loin de tenir le point du nul, elle aura finalement réussi cette performance contre la France, avant de mener au score sur quasiment l’ensemble du match face à l’Allemagne, mais l’égalisation dans les dernières minutes de Goretzka aura mis un terme aux espoirs hongrois. La Hongrie peut toutefois sortir la tête haute de la compétition, n’ayant été qu’à quelques minutes d’être LA grosse surprise de l’Euro.

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La Finlande et la Slovaquie, quant à elles, se retrouvent toutes les deux aux places les moins désirables, à savoir les places de 5ème et 6ème équipes classées troisièmes. La Finlande aura fait tout son possible pour se qualifier, ne devant son élimination qu’à sa défaite lors de son ultime match face à la Belgique. N’étant pas passée loin d’une qualification historique lors de sa première participation à une phase finale d’une grande compétition internationale, elle n’a pas à rougir de son parcours, tout en méritant le respect pour son comportement lors du malaise d’Eriksen lors de son premier match face au Danemark.

Enfin, la Slovaquie est également passée très près d’une qualification pour les huitièmes de finale, mais sa lourde défaite face à l’Espagne (0-5) lors de son dernier match aura sonné le glas des espoirs de ses supporters. Elle termine toutefois à une honorable troisième place dans un groupe composé de l’Espagne donc, mais également de la Suède et de la Pologne, ayant même battu cette dernière lors de son premier match. Encourageant, mais malheureusement insuffisant pour voir plus loin que la phase de poules. 

Ont fait ce qu’ils ont pu : la Macédoine du Nord, l’Écosse, la Russie

La Macédoine du Nord n’a pas à rougir de son parcours. Véritable petit poucet de la compétition, la sélection de Goran Pandev (qui a annoncé sa retraite internationale après 122 sélections sous le maillot macédonien) a lutté avec ses armes dans un groupe dont elle n’avait que peu de chances de sortir sur le papier. On retiendra cependant leur prestation face à l’Ukraine, dans un match où ils n’auront pas été loin d’arracher le point du nul, mais cette équipe était toutefois trop limitée face à ses adversaires pour jouer véritablement les troubles fêtes.

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Au moment du tirage au sort des poules, l’Écosse apparaissait comme un outsider du groupe D et il était assez clair qu’elle devrait se battre pour obtenir au mieux une troisième place. Les hommes de Steve Clarke ont cependant déjoué dès leur premier match face à l’adversaire qui était le plus prenable pour eux, à savoir la République tchèque. Cette défaite les aura mis en grande difficulté comptable, devant alors au moins remporter un match face à l’Angleterre ou à la Croatie. Malgré un nul de prestige face à l’Angleterre et un match nul à la mi-temps face à la Croatie, l’Écosse aura finalement cédé face à ces derniers et a terminé à la dernière place de leur groupe, sortant ainsi prématurément de la compétition.

La Russie, quant à elle, a également terminé dernière de son groupe, en raison de la claque reçue face au Danemark lors de son ultime match (1-4). Malgré une victoire contre la Finlande et trois équipes à trois points dans son groupe, la Russie aura donc pris la dernière place et pourra regretter cette lourde défaite lors de son dernier match, la privant d’une qualification pour les huitièmes de finale qui lui semblait promise au vu du scénario global du groupe avant les ultimes rencontres.

Redoublement : la Pologne, la Turquie

La Pologne, dans un groupe qui semblait à sa portée, n’a pas pu faire mieux qu’une quatrième place, avec qu’un seul petit point (obtenu face à l’Espagne) au compteur. Malgré deux premiers matchs compliqués (défaite contre la Slovaquie et match nul face à l’Espagne donc), les coéquipiers de l’ancien parisien Krychowiak étaient toujours en mesure de se qualifier lors du dernier match face à la Suède, à condition de remporter ce match. En outre, malgré le fait que cette dernière menait 2-0, la Pologne a réussi à revenir dans la partie et y a même cru, grâce au doublé de Lewandowski (qui totalise 3 buts dans cet Euro). Malheureusement pour eux, un nul n’était pas suffisant, et le but de Claesson dans les dernières secondes a définitivement enterré tous les espoirs des Polonais. La Pologne, après la Coupe du monde 2018, aura une nouvelle fois déçu : on attendait mieux de cette formation.

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Enfin, il était dit plus haut que l’Allemagne était LA déception de cette phase de poules. Cependant, la Turquie n’aura pas été la déception de la phase de poules, mais LA déception de l’Euro. Après des résultats convaincants lors de ses matchs de préparation et dans une poule qui semblait être à leur portée, elle termine finalement sur un zéro pointé, un seul petit but marqué et huit buts encaissés. La Turquie n’a jamais semblé à sa place lors de l’Euro, malgré une équipe très alléchante sur le papier. Peu d’engagement, peu de conviction, peu de folie, peu de tout. Ce n’était clairement pas la compétition de la Turquie et, au vu de l’équipe qu’elle présentait (avec notamment un Yilmaz presque transparent lors de ses trois matchs, loupant même une balle d’égalisation immanquable face aux Pays de Galles) ainsi que de sa préparation, les fans de la Turquie peuvent légitimement être déçus de leur équipe.

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À l’issue de cette phase de poules, les cadors sont tous au rendez-vous des huitièmes, malgré des limites criantes affichées par certains. Cependant, comme on l’a vu lors de l’Euro 2016 et de la Coupe du monde 2018, une sélection peut très bien faire une phase de poules en demi-teinte pour aller finalement chercher le trophée à la fin. Tout reste à faire donc, chaque équipe aura sa carte à jouer, et nous espérons du spectacle ainsi que quelques surprises pour la suite de la compétition ! Retrouvez toute l’actualité de l’Euro 2020 sur notre compte Twitter et sur notre Fil d’Actu.

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Flavien Dublineau

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