C’est fait ! L’Equipe de France est qualifiée pour la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Au bout d’un match maitrisé de bout en bout, les Bleus ont conforté leur 1ère place du groupe. Déjà éliminés avant la rencontre, les Kazakhstanais se déplaçaient pour l’honneur. Voici les Tops et les Flops de cette rencontre.
👍 Les Tops
Kylian Mbappé : 9.5/10
Pas contents ? Quadruplé. Le parisien s’est amusé dans son Parc des Princes et a montré à tout le monde qu’il était le propriétaire des lieux. Souvent servi sur un plateau par ses coéquipiers, l’ancien monégasque a été froid d’efficacité. On a également vu un Mbappé altruiste ce soir, et il se met même à marquer de la tête… Où vas-tu t’arrêter Kylian ?
Kingsley Coman : 9/10
Positionné piston droit à la place de Benjamin Pavard, le titi parisien a bien rapidement fait oublier son partenaire du Bayern. Il a fait tourner toutes les têtes de la défense Kazakhstanaise, par le dribble ou par la passe. Sa qualité technique semble rendre tous ces gestes si faciles. Kingsley Coman s’offre 2 passes décisives ce soir. Un match de maestro.
Karim Benzema : 8/10
A l’origine du 1er but en lançant Théo dans la profondeur, c’est en seconde période que le madrilène a fait ses stats. Un doublé plus tard, KB19 devient le 5ème meilleur buteur de l’histoire de l’Equipe de France devant David Trezeguet. Tout ça, avec 5 ans de moins. Bientôt une récompense individuelle pour conclure cette fabuleuse année ?
Théo Hernandez : 8/10
Après le piston droit, je demande le gauche. Le milanais a enchainé les déboulés sur son côté et a été décisif. Sa vitesse a fait très mal aux défenseurs adversaires et la précision de ses centres a fait mouche. Il délivre 2 bonbons, d’abord à Mbappé, puis à Benzema.
👎 Les Flops
L’équipe Kazakhstanaise : 0/10
Cela faisait bien longtemps que l’on n’avait pas vu les Bleus aussi sereins dans une rencontre. « Oui mais vous avez vu ce qu’il y avait en face ? » diront les sceptiques. Et en effet, les européens de l’Est ont montré de grosses lacunes. Une défense mal alignée et constamment prise dans le dos, des relances trop rarement propres et un contenu offensif d’un vide abyssal ont rythmé leur rencontre.