Et si un champion d’Europe rejoignait l’OM au prochain mercato estival ? Depuis l’arrivée de Pablo Longoria au sein du club, le recrutement des phocéens a totalement changé. Il y a encore un peu plus d’un an, aucun marseillais n’aurait pensé avoir un effectif aussi bien garni très peu de temps après l’arrivée du directeur sportif espagnol. Depuis qu’il a pris la présidence du club, tout va bien ou presque pour l’OM.
Dans une interview accordée au quotidien italien Tuttosport, Pablo Longoria, actuel président de l’Olympique de Marseille a avoué son envie d’attirer le champion d’Europe en titre et international italien Giorgio Chiellini à La Canebière. L’iconique défenseur de la Juventus est en fin de contrat avec la Vieille Dame en juin prochain et ne devrait pas renouveler son bail. Une aubaine pour Pablo Longoria qui a connu le joueur pendant son passage à la Juve entre 2015 et 2018. Interrogé sur une potentielle arrivée libre de Paulo Dybala, lui également en fin de contrat et ne devrait pas prolonger son aventure avec les Bianconeri, l’espagnol a préféré rester réaliste.
Il a déclaré :
« Les projets se construisent sur la logique, pas sur les rêves. C’est un grand joueur, mais on ne peut pas se le permettre »
Loin des déclarations sans sens de l’ancien président de l’OM, Jacques Henry Eyraud qui n’hésitait pas à sortir des phrases telles que :
« Messi et Ronaldo à l’OM ? Impossible n’est pas Marseillais ! ».
Un recrutement italien
Depuis qu’il est à l’OM, l’ancien scout de Valence a fait usure de ses contacts en Italie. Il a mis l’accent sur les joueurs de Serie A et pour l’instant, c’est loin d’être un échec. Tout a commencé avec l’arrivée du Polonais Arkadiusz Milik en provenance du Napoli, suivi par Cengiz Ünder et Pau Lopez, tous deux de la Roma.
L’été dernier, Pablo Longoria avait déjà sondé Jérémie Boga. le natif de Marseille était très proche de faire son retour chez lui. Un dossier qui n’a pas pu se finaliser pour des causes financières. Actuellement, l’international ivoirien est prêté à l’Atalanta Bergame avec une obligation d’achat qui s’élèverait aux alentours d’une vingtaine de millions d’euros.