1958, 1962, 1970, 1994, 2002 puis 2022 ? La Seleção, reine de la Coupe du Monde avec ses cinq victoires finales, rêve d’ajouter une sixième étoile sur le maillot Auriverde. Mêlant l’expérience à la fougue de jeunes talents, ce groupe brésilien s’avance comme le grand favori au Qatar avant son entrée en lice contre la Serbie (20h).
Author: Mateo Riviere
L’arbitre donne le coup de sifflet final, le moment est arrivé, après l’échec de 2014 au Brésil, Léo Messi est champion du monde en ce soir du 18 décembre 2022. Ce scénario doit se répéter en boucle dans la tête des Argentins, mais aussi de certains fidèles du septuple ballon d’or, qui dispute son ultime Mondial. Récent vainqueur de la Copa America et invaincue depuis 36 matchs, l’Argentine peut rêver d’un troisième sacre mondial au Qatar.
À l’aube de cette nouvelle saison, l’exercice 2022-2023 ne s’inscrivait pas dans un avenir aussi radieux pour les hommes de Luciano Spalletti. En effet, l’été fut très agité du côté de Naples puisque de nombreux joueurs qui plus est importants, ont quitté le club.
Malgré ce grand ménage opéré dans l’effectif et le renforcement de certains cadors italien, le club d’Aurelio De Laurentiis se hisse en tête de la Serie A. Mais comment expliquer ce début de saison plus que réussi du côté de Naples ?
L’hymne de la « Coupe aux grandes oreilles » faisait son grand retour au Parc des Princes ce soir. Ce choc des huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions entre le club de la capitale et le Real Madrid tourne à l’avantage du PSG grâce à Kylian Mbappe. Après cette victoire sur le plus petit des score, voici les Tops et les Flops de la rencontre !
Après quelques saisons décevantes en matière de résultats, le Real Madrid version Ancelotti 2.0 semble avoir trouvé la clé du succès.
Dauphin de son voisin Citizen la saison dernière, Manchester United avait affiché de belles ambitions lors de la période estivale. Avec le recrutement de Raphaël Varane, de Jadon Sancho ainsi que le retour de Cristiano Ronaldo à Old Trafford, United était promis à un retour sur le devant de la scène. Mais à la mi-saison, l’enthousiasme qui régnait dans le « Théâtre des Rêves » cet été, semble virer au cauchemar. Pointant à la 7e place de Premier League après 5 mois de compétition, les Reds Devil’s sont bien loin du standing auquel ils semblaient prétendre en début de saison.
Dans les moments les plus compliqués, certaines choses ont le pouvoir de rassembler les hommes. En 1914, alors que le monde est marqué par l’un des pires conflits de son histoire, les fêtes de fin d’année ont marqué une trêve dans les affrontements des troupes. Le jour de Noël de la même-année, britanniques et allemands se sont rejoints sur le « no man’s land », le temps d’une partie de football.
Récent vainqueur de Troyes sur le score de 4-0, le RC Lens réalise un début de saison tonitruant. Produisant un jeu séduisant, les hommes de Franck Haise nous offrent un spectacle footballistique plaisant depuis maintenant plus d’un an et leur retour parmi l’élite. 7eme de Ligue 1 la saison dernière, les Sang et Or avaient échoué de peu à une place européenne, un objectif déjà bien à la hausse par rapport aux espérances des dirigeants en début de la saison. Le club artésien est-il passé dans une nouvelle dimension ?
Cette saison, les Lensois semblent réitérer les mêmes bases qui ont fait leurs succès l’an passé, avec deux points de moyenne par match, le Racing Club ne perd jamais deux fois de suite, à l’image de leur revers lyonnais (2-1) immédiatement rebondit avec la victoire 4-0 de ce week-end face à Troyes.
Au programme de la 11e journée de Premier League, l’une des plus belle affiche Outre-Manche, le Derby de Manchester.
Le pressing constant effectué par les Skyblues aura asphyxié les Reds Devils, qui la « tête dans le sceau », n’ont jamais eu la main mise sur la rencontre. Dès le premier quart d’heure, la domination technique et tactique de City a été récompensé par l’ouverture du score à la suite d’un centre de Joao Cancelo contré par Eric Bailly dans son propre but (7e). Juste avant le retour aux vestiaires, Bernardo Silva vient doubler la mise (45e) et conclut une première mi-temps ultra dominée par les Citizens. En seconde période, City n’a pas baissé en intensité et aurait même pu creuser l’écart. Voici les Tops et les Flops de la rencontre !
Dans un Stade Vélodrome toujours aussi bouillant, l’Olympique de Marseille troisième de son groupe, jouait déjà sa survie en accueillant la Lazio.